Je les vois, mouvant légèrement par la cahot du métro.
Tu bouges un peu les jambes pour les libérer discrètement de la pression un peu rude.
Je regarde le tissu s'étirer, son satiné affirme leur trait rotondant.
Mes mains picotent de vouloir les relaxer. De la pulpe du doigt, tâter la teneur de ces bourses, les soupeser avec délicatesse.
Ma bouche frémit de vouloir les gober, ma langue de s'y enrouler en une profonde extase...
Mon sourire s'accentue.
De la main j'entourerais ta cuisse, et j'embraserais avec dévotion la naissance de ta queue...
Encore et encore.
Je serais la chaleur envahissante.
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