dimanche 8 février 2015
Les jours roses • 1
La tension. Foudroyante.
L'absence, elle-même, nous presse l'un vers l'autre avec fureur.
Les frissons nous prennent le corps, chatouillant notre envie de la pointe des cheveux aux orteils crispés.
La mer est vive derrière tes yeux.
Le soleil vivant, virant vers la pente découpée de roche.
Là où rien ne manque. Même le naufrage, en carcasse moussue, d'un ancien amour.
Là où la respiration est tout le temps saline.
Quand tes doigts sur mes lèvres demandent un soupir, et mes doigts suivent sur un sourir.
Là tout est calme.
L'attente.
L'absence, elle-même, nous presse l'un vers l'autre avec fureur.
Les frissons nous prennent le corps, chatouillant notre envie de la pointe des cheveux aux orteils crispés.
La mer est vive derrière tes yeux.
Le soleil vivant, virant vers la pente découpée de roche.
Là où rien ne manque. Même le naufrage, en carcasse moussue, d'un ancien amour.
Là où la respiration est tout le temps saline.
Quand tes doigts sur mes lèvres demandent un soupir, et mes doigts suivent sur un sourir.
Là tout est calme.
L'attente.
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