dimanche 27 mars 2016

Close (up)

La corde est sensible
Brut, sauvage, effritée.

La porte grince.
Réveille les souvenirs
mais les désirs aussi.

Le pas est lourd.
L'âme est légère.
Le temps percute
des fois les creux des fois les bosses.

Mais quand on écarte un peu le voile,
Quand on pause la main dessus,
ça brille, ça vibre, ça brûle.


Pâques au balcon.



Pour lire les précédents billets : Les petites poésies de nuit

8 commentaires :

P_apanoel a dit…

Ennivré par la lumière, et le chant envoûtant des mots, je me laisse emporter, et je contribue à cet élan du renouveau de la nature :

Tel le papillon,
J'accours au creux des bosses,
Avant de me brûler.

Comme une image a dit…

... Noël au téton ?

In Venus Voluptas a dit…

P_apanoel >
Bienvenue ici :)
Et merci pour la suite papillonesque !

Comme une image >
Pourquoi pas ^^ ?

Anonyme a dit…

Les mots comme la photo sont d'une douceur infinie...

ARAMIS a dit…

Bonjour, je te découvre, et j'adore!

ici et ailleurs a dit…

Pâques au balcon, Noëlle à foison
:)
ps : gloups (pour la photo)
ps2 : je suis un rustre, pour une fois, je ne parlerai pas des mots
:p

Casualito a dit…

Douce sensation que celle de ce téton... Cette main exulte mes désirs.

In Venus Voluptas a dit…

Plume d'envies >
:) Le douceur est-il un leurre… ?

Ulysse >
Bienvenue et merci !

Ici et ailleurs >
haha C'est déjà ça !

Casualito >
Un délice à partager !

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